« La majorité des électeurs ne veut pas de législatives anticipées, qui seraient une perte précieuse de temps et d'argent », confirme Sophia Tsiliyanni, qui dirige l'institut grec de sondages Marc. Par son ampleur, la crise économique est devenue l'unique raison pour Georges Papandréou de se maintenir. « Il se moque de sa carrière, de son futur politique et sait qu'il va se sacrifier, confie un de ses collaborateurs directs, il pourrait partir, convoquer des élections mais, en patriote, il entend sauver le pays. »
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